Cases et turbomedia
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Cases et turbomedia
Bonjour.
Je me permet de lancer ce topic car il y a une question importante que je me pose vis à vis du turbo media.
En BD nous avons un format choisi au départ qui reste le même tout au long de l'oeuvre mais qui nous offre la possibilité de faire de la mise en page.
Ainsi chaque case devient de par sa forme, son enchainement et sa valeur de cadre un élément majeur de la naration.
Et j'ai beaucoup de mal à envisager cet élément là dans le turbo média.
J'ai un peu l'impression que l'on perd l'avantage de la mise en page. On se retrouve à mis chemin entre la BD et l'annimation simpliste (presque du stop motion).
Comment pouvons nous introduire dans le turbo média un code, un outil ou un aspect qui nous permetterai de jouer avec la narration ?
Je me permet de lancer ce topic car il y a une question importante que je me pose vis à vis du turbo media.
En BD nous avons un format choisi au départ qui reste le même tout au long de l'oeuvre mais qui nous offre la possibilité de faire de la mise en page.
Ainsi chaque case devient de par sa forme, son enchainement et sa valeur de cadre un élément majeur de la naration.
Et j'ai beaucoup de mal à envisager cet élément là dans le turbo média.
J'ai un peu l'impression que l'on perd l'avantage de la mise en page. On se retrouve à mis chemin entre la BD et l'annimation simpliste (presque du stop motion).
Comment pouvons nous introduire dans le turbo média un code, un outil ou un aspect qui nous permetterai de jouer avec la narration ?
monnierant- Messages : 9
Date d'inscription : 15/07/2015
Re: Cases et turbomedia
Effectivement, l'effet "stop-motion" peut de ressentir quand l'auteur du turbo joue avec la persistance rétinienne. Mais je pense que c'est justement un choix de l'auteur: suivant ce qu'il veut raconter, il peut très bien décider de ne faire apparaître que des cases classiques, les une à coté des autres, comme dans une BD papier.
Je crois qu'au contraire, le turbomédia continue de proposer une lecture très proche des habitude du papier! (le résultat est différent (voir Malec), mais les habitudes de lecteur sont toujours là, utilisées par le lecteur -comme le fait de cliquer pour remplacer le fait de tourner la page (et donc de maîtriser sa vitesse de lecture), ou les procédés graphiques comme les bulles ou les traits de vitesse-
Tu parle de format impose de la page quand on lit un livre, qui nous permet de faire de la mise en page... c'est la même chose sur un turbo: la page est un écran, qui nous permet de faire de la mise en page aussi! (ou plutôt de la "mise en écran"! huhu!)
L'animation n'est qu'un outil mis à la disposition du narrateur, il n'est pas obligé de l'utiliser.
Mais le turbo n'en est qu'à ses débuts, il nous reste encore à inventer plein de possibilités narratives! peut-être trouverons-nous de nouvelles pistes?
Je crois qu'au contraire, le turbomédia continue de proposer une lecture très proche des habitude du papier! (le résultat est différent (voir Malec), mais les habitudes de lecteur sont toujours là, utilisées par le lecteur -comme le fait de cliquer pour remplacer le fait de tourner la page (et donc de maîtriser sa vitesse de lecture), ou les procédés graphiques comme les bulles ou les traits de vitesse-
Tu parle de format impose de la page quand on lit un livre, qui nous permet de faire de la mise en page... c'est la même chose sur un turbo: la page est un écran, qui nous permet de faire de la mise en page aussi! (ou plutôt de la "mise en écran"! huhu!)
L'animation n'est qu'un outil mis à la disposition du narrateur, il n'est pas obligé de l'utiliser.
Mais le turbo n'en est qu'à ses débuts, il nous reste encore à inventer plein de possibilités narratives! peut-être trouverons-nous de nouvelles pistes?

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